Et si on écrit
23/10/2014
Au niveau du cycle secondaire des professeurs de lettre encourageaient toujours, mes camarades et moi, à consacrer un moment de la journée pour écrire, surtout le soir. À cette époque nous étions libres d’écrire sur des sujets qui nous intéressent, qui nous tracassent ou que nous sommes tout simplement incapable d’appréhender l’essence. Nos souhaits personnels, en ce qui a trait à notre avenir, celui du pays constituaient les principaux libellés…